Derrière le concept fumeux, car recouvrant des réalités trop disparâtres, il y a un certains nombre de techniques intéressantes qu'il ne faudrait pas jeter avec l'eau du bain marketing.
Une chose est certaine : si le Web 1.0 séduisait par son économie de moyens (ex. HTML, push effectué avec des vrais protocoles push comme SMTP, le protocole de distribution des courriers électroniques,
REST), le web 2.0 brille souvent par sa non-préoccupation de l'optimisation (pages dynamiques, flux RSS, SOAP, ...)
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Le dictionnaire du Web 2.0 par le Journal du Net, présente quelques techniques considérées comme faisant partie du Web 2.0.
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L'article de Wikipedia est plus abscon.
Tous le outils pour interroger les serveurs de noms (association nom <-> adresse IP pour une machine connectée sur Internet) :
http://www.dnsstuff.com/
avec notamment un whois (identification du propriétaire d'un nom de domaine)
Dans une application web construite selon l'architecture
REST, l'URL (adresse web) est considéré comme une une URI (Uniform Resource Identifier) qui identifie une ressource (par exemple un compte client, une facture, une référence catalogue...). Dans ce contexte, idéalement, utiliser une application, c'est naviguer de ressource en ressource.
Par delà l'idéologie, cette approche présente un intérêt : elle rend tous les écrans de l'application "bookmarkables" (il peuvent être classés en tant que favoris). On n'est plus contraint de suivre un cheminement imposé par l'applicatif. On peut, au contraire, aller directement à un écran donné. NB : cela est possible dans la mesure où l'architecture REST est une architecture sans état.
Comment pratiquement arriver à un tel résultat ?
Continuer à lire "Redirections dans une application Web"
On trouvera tout ce qui concerne le DOM d'Internet Explorer (utilisable en Javascript) sur :
http://msdn.microsoft.com/library/default.asp?url=/workshop/author/dhtml/dhtml_node_entry.asp
Cette documentation doit être consultée avec IE, tout autre navigateur entraîne la disparition des liens croisés indispensables.
Voir aussi
http://archives.allhtml.com/javascript/index.php pour un ensemble de fonctions Javascript toutes faites pour régler des problème usuels.
Pour s'y retrouver dans la résolution des écrans :
Norme | Résolution |
MCGA | 320x200 |
QGA | 320x240 |
EGA | 640x350 |
VGA | 640x480 |
SVGA | 800x600 |
XGA | 1024x768 |
WXGA-H | 1280x700 |
SXGA | 1280x1024 |
WXGA | 1366x768 |
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Norme | Résolution |
SXGA+ | 1400x1050 |
WXGA+ | 1440×900 |
UXGA | 1600x1200 |
WSXGA+ | 1680x1050 |
WUXGA | 1920x1200 |
QGA | 2048x1536 |
QSXGA | 2560x2048 |
QUXGA | 3200x2400 |
WHSXGA | 6400x4096 |
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L'interprétation des statistiques issues de la consultation d'un serveur Web est une tâche délicate. Plusieurs biais peuvent fausser totalement ces statistiques et donner une image erronée des consultations.
Voir aussi
le chapitre "How the web works" de la documentation d'Analog qui explique comment sont calculées les statistiques Web. L'auteur explique, en particulier pourquoi la notion de "visite" n'a pas de sens sur le Web, ce qui n'empêche pas la plupart des outils d'en faire le centre de leurs résultats.
Continuer à lire "Statistiques de serveur Web"
Voici une liste d'une centaine de coordonnées GPS de sites intéressants (principalement des villages).
Liste en format OV2 pour Tomtom.
Format ASCII.
Editeur de points d'intérêts pour GPS.
Continuer à lire "Beaux villages de France"
Il s'agit de déboguer un programme cgi stateless (voir l'article sur l'architecture REST) tournant sur un serveur Apache dans l'architecture Linux ou Unix.
On suppose que le CGI en question est un programme C (ou C++) lancé par un shell, ce qui est souvent le cas, car il faut définir un environnement (path, ld_library_path, ...). Dans notre exemple, un environnement Oracle est mis en place par l'appel du script /etc/profile.d/ora.sh .
Pour pouvoir lancer le débogeur, il faut d'une part, récupérer les variables d'environnement mises en place par le serveur Web (Apache) et d'autre parr récupérer l'entrée standard du programme CGI (stdin) qui contient les paramètres de formulaire passés en POST.
Continuer à lire "Deboguer un programme web CGI"
Lorsqu'un client (par exemple un navigateur internet) envoie une requête à un serveur web, il doit préciser une URL (adresse) et une méthode. Cette méthode indique ce que le client veut faire de l'entité représentée par l'URL. Prenons quelques exemples.
Lorsque l'on consulte des pages Internet en suivant des liens, le navigateur effectue un GET. Lorsque l'on valide un formulaire web, la méthode utilisée peut être
GET ou POST.
L'écriture d'applications web en architecture
REST conduit à utiliser d'autres méthodes comme DELETE et PUT.
Continuer à lire "DELETE PUT GET POST"
Bien que le protocole http n'impose rien, Il existe pratiquement une valeur maximale pour la taille des URL lorsque l'on accède à un serveur Web. Cette limite variable provient de plusieurs sources :
1. Limites sur le serveur. Un serveur donné a en général une limite. Sous Apache, par exemple, cette limite est à fixée à la compilation (par défaut environ 8000 caractères) . Par ailleurs, l'administrateur d'un site peu être plus restrictif en imposant une limite plus base à l'aide de la directive
LimitRequestLine.
2. Limites sur le navigateur. Pour Internet Explorer, la limite est de 2083 caractères. Voir
Le support Microsoft sur le sujet.
3. Limites des serveurs proxys ou des serveurs de caches qui s'intercalent entre le serveur et le navigateur.
Dans la pratique, il vaut mieux éviter les URL longs, 2083 étant de toute façon la limite à ne pas dépasser. On utilisera préférentiellement des formulaire web avec la méthode POST plutôt que GET.
http://www.computer-directory.info/ est un répertoire dans lequel on trouve aussi bien des logiciels que des algorithmes ou des articles de fond sur les techniques informatiques.
A première vue, c'est assez complet.
Qui est derrière ce serveur ? Mystère le nom de domaine est enregistré par domainsbyproxy.com, site spécialisé dans le masquage d'identité.
Le serveur est passé à la version 1.0 de Serendipity.
Cela a été relativement long car j'avais quelques spécificités :
- templates maison;
- utilisation des catégories pour la navigation.
j'en ai profité pour changer un peu le look.
Merci de me signaler les anomalies.
Continuer à lire "Passage à Serendipity 1.0"
http://www.w3schools.com/
Un ensemble de tutoriels sur nombre de techniques utiles pour la réalisation de sites web. La rubrique consacrée aux feuilles de styles (
CSS) présente quelques exemple interactifs dont on peut changer le code en dynamique.
REST est une architecture de développement d'applications Web inventée par
Roy T. Fielding dans sa
thèse de doctorat.
En plus d'introduire ce concept, cette thèse présente un panel d'architectures Web. Elle fournit une grille de lecture qui permet de comparer les architectures entre elles en présentant leur avantages et leurs inconvénients, ainsi que les types d'applications pour lesquelles chaque architecture est adaptée.
Voir aussi
l'article de Wikipedia
Continuer à lire "REST"
J'ai recherché des outils non-payants sur Linux pour accéder à une base Oracle.
Ma recherche a porté sur deux axes :
1. Recherche d'un éditeur graphique permettant l'envoi de commande SQL, le parcours du schéma et la modification graphique des données.
2. Un remplacement de SqlPlus en ligne de commande, avec historique des commandes comme avec mysql.
Le logiciel retenu dans la catégorie 1 est Tora, malgrès des instabilités en ce qui concerne les modifications de données.
Le logiciel retenu dans la catégorie 2 est YaSQL.
Continuer à lire "Editeurs Oracle sous Linux"