Verticale Yquem 3ème édition
Quelques bouteilles d'Yquem
Ce classement initial ne correspond pas au classement après dégustation.
Voir aussi : la 2ème édition.
1953 : La robe caramel indique une évolution importante.
Acidité moyenne, rancio, très proche d'un Maury (ce qui n'est pas une attente sur un Yquem). Cire, figue, au final sucrosité et lourdeur.
1965 : Robe peu évoluée.
Nez souffré au départ. Par la suite, peu ouvert, arôme discret.
Arôme un peu trop simple (Abricot, Tabac), bonne amertume. Grande longueur en bouche.
Sans être un millésime exceptionnel, le 1965 donne des signes de l'élégance que l'on attend d'un Yquem.
1962 : Un Yquem d'une grande classe, le meilleur millésime de cette dégustation.
Robe peu évoluée.
Nez abricot, confituré, tabac. On retrouve ces arômes en bouche ainsi qu'un arôme type "noyau de pêche", orange amère.
Finale avec une agréable amertume.
Très élégant.
1971 : La robe indique des signes inquiétants d'évolution.
Nez = cire, oxydation.
Sucrosité (défaut) - arôme pêche - alcoleux - lourd
Manque d'élégance (dominante arômatique : cire)
Explication possible cette dégustation décevante : la bouteille a été reconditionnée. Un problème de bouteille pourrait expliquer l'oxydation et le décallage important avec les dégustations lues sur les guides. Le moins bonne bouteille de ce millésime.
1978 : Bouteille bouchonnée
C'est d'autant plus dommage que derrière le voile du liège, on entrevoit des choses fabuleuses
1986 : très grosse matière
Bon équilibre, arôme pêche, ananas
Dégusté trop jeune, ce millésime privilégie la puissance sur l'élégance et c'est dommage.
1996 : Petite année bien travaillée
Arômes plaisants (Eucalyptus).
Sans atteindre des sommets, ce millésimes atteint presque l'élégance.
Bon niveau de référence : on ne devrait pas avoir un Yquem en dessous de cette qualité.
Acidité moyenne, rancio, très proche d'un Maury (ce qui n'est pas une attente sur un Yquem). Cire, figue, au final sucrosité et lourdeur.
1965 : Robe peu évoluée.
Nez souffré au départ. Par la suite, peu ouvert, arôme discret.
Arôme un peu trop simple (Abricot, Tabac), bonne amertume. Grande longueur en bouche.
Sans être un millésime exceptionnel, le 1965 donne des signes de l'élégance que l'on attend d'un Yquem.
1962 : Un Yquem d'une grande classe, le meilleur millésime de cette dégustation.
Robe peu évoluée.
Nez abricot, confituré, tabac. On retrouve ces arômes en bouche ainsi qu'un arôme type "noyau de pêche", orange amère.
Finale avec une agréable amertume.
Très élégant.
1971 : La robe indique des signes inquiétants d'évolution.
Nez = cire, oxydation.
Sucrosité (défaut) - arôme pêche - alcoleux - lourd
Manque d'élégance (dominante arômatique : cire)
Explication possible cette dégustation décevante : la bouteille a été reconditionnée. Un problème de bouteille pourrait expliquer l'oxydation et le décallage important avec les dégustations lues sur les guides. Le moins bonne bouteille de ce millésime.
1978 : Bouteille bouchonnée
C'est d'autant plus dommage que derrière le voile du liège, on entrevoit des choses fabuleuses
1986 : très grosse matière
Bon équilibre, arôme pêche, ananas
Dégusté trop jeune, ce millésime privilégie la puissance sur l'élégance et c'est dommage.
1996 : Petite année bien travaillée
Arômes plaisants (Eucalyptus).
Sans atteindre des sommets, ce millésimes atteint presque l'élégance.
Bon niveau de référence : on ne devrait pas avoir un Yquem en dessous de cette qualité.
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